[color:018f=darkred]Personnellement, j'ai adoré "De l'air" d'Olivia Ruiz
Petite fille dans la tempête
Trop grande avant d'avoir seize ans
Lune a dessiné dans sa tête
Un grand fil sur le firmament
Petit îlot de solitude
Ivre au milieu des eaux salées
Des océans d'incertitudes
Qu'elle est trop seule pour dissiper
Elle songe à ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Où elle pourrait sourire sans soupirs
Et qu'on lui donne enfin
De l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Et qu'on lui donne enfin
De l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Petite fleur cherche printemps
Voudrait ouvrir mais à Fleury
On ouvre que de temps en temps
Et on referme aussitôt dit
Elle songe à ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Où elle pourrait sourire sans soupirs
Et qu'on lui donne enfin
De l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Et qu'on lui donne enfin
De l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
Petit caillou dans les embruns
D'une plage où s'est échoué
Le grand cargo noir du destin
Lune est à moitié, à moitié chavirée
Et qu'on lui donne enfin
De l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air....
De l'air de l'eau du ciel sur sa peau
De l'air des rires du bonheur qui transpire
De l'air des bras ouverts et qu'on ne referme pas
De l'air des mots qui soufflent les sanglots
De l'air
"Opium" d'Emilie Simon aussi
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs en dégradé ...
Evaporée, comme la fumée, dans un nuage cendré.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium)
Mon opium, pas de sérum, mon opium
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs dans les pétales ...
Toute embuée, je pars en fumée, comme un bon petit cobaye.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium opium)
Mon opium, pas de sérum, mon opium
Je laisse aller, me laisse inhaler, mon opium (x3)
Je laisse aller, je laisse aller ... je laisse aller (je laisse aller ... je laisse aller ...)
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs en profondeur ...
Ensommeillée, je me laisse guider, j'avance en apesenteur.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium, opium)
Mon opium, pas de sérum !
Je laisse aller, je laisse aller ... je laisse aller (je laisse aller ... je laisse aller ...)
Et "Il y a ton sourire" de Saez ( J'ai son nouvel album demain
tout le monde s'en fout mais bon... j'exprime ma joie
! )
Il y a ton sourire qui s'élève,
C'est comme une lueur d'espoir,
Il y a l'ombre et la lumière,
Au milieu, notre trajectoire.
Il fallait choisir une route,
Alors on a choisi la pluie,
Acide à s'en brûler le coeur,
Pourvu que planent les esprits.
Il y a tes yeux qui me tuent,
Quand tu me dis que c'est fini.
Il y a le vent de nos sanglots qui soufflent pour une amnistie.
Mais rien n'arretera la lutte,
Non rien n'assèchera cette pluie,
Non rien ne finira la chute,
Rien ne finit l'infini...
Rien ne déserrera nos mains,
Rien n'éteindra l'éphémère.
Nous forcerons, nous forcerons le destin.
Et puis nous percerons les mystères.
il y a les lois de l'empire,
Et les trous noirs dans ma mémoire.
Il y a le meilleur et puis le pire,
Au milieu notre trajectoire.
Combien tu vends ta liberté?
Dis, combien tu vends ta poésie?
Moi j'ai même vendu mon âme au diable,
Pour ton sourire...
Puisque tout est aléatoire,
Dans le chaos des univers,
Et puisqu'insoluble est la réponse,
Et puisque déjà me manque l'air.
Mais qu'importe les directions jusqu'au delà de la limite,
Tous les chemins mènent à tes yeux,
Tous les chemins mènent à la fuite...
Rien ne déserrera nos mains,
Rien n'éteindra l'éphémère,
Nous forcerons nos destins,
Nous percerons les mystères.
Rien ne déserrera ces poings,
L'univers, l'univers...
Nous retrouverons nos chemins.
Nos idées, et l'univers.
Il y a ton sourire qui s'élève,
C'est comme une lueur d'espoir,
Il y a l'ombre et la lumière,
Au mileu notre trajectoire.
Oui, il fallait choisir une route,
Alors on a choisi les pluies,
Acides à s'en brûler le coeur,
Pourvu que planent nos esprits.
Et Vous??
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