[size=7][strike]Alors...par où commencer...
Bonjour,
Je m'appelle Amandine,
Je suis étudiante,
Je bois depuis 5ans,...
Ah non c'est pas ça[/strike][/size]
([size=12]humour déplacé, inutile, noir et pas marrant => barré : excusez-moi )
Sérieusement...
Commençons par le début, la première ligne me semble impossible et vraiment pénible à écrire, et je suppose que ce sera pareil pour le suivantes, donc je modifierai surement ce post à plusieurs reprises pcq je doute d'être capable à écrire tout en un seul jet!
J'avais 13ans, j'étais très heureuse (et très naive hélas), j'étais jolie, pas trop bete voire carrément intello mais toujours dans le fond avec les cancres, je connaissais tout le monde dans mon école, tout le monde me connaissait, je plaisais aux gens de mon âge et aux plus âgés pcq je faisais déjà 1m60 et que j'avais déjà des formes. J'avais un copain de 16ans depuis 6mois et tout allait pour le mieux. J'étais certainement assez sure de moi à cause de "l'amour" et de "l'amitié" que me portaient les gens. J'avais l'impression que ca durerait éternellement. Je restais tout le temps avec une fille que je considérais comme ma meilleure amie et mon copain restait tout le temps avec son meilleur ami. Cela fait que nous restions souvent à 4, dès que cela était possible (càd en dehors des cours). Ma meilleure amie est très vite tombée amoureuse du meilleur ami en question, et lui est très vite devenu jaloux de mon copain, ils se disputaient sans cesse à mon propos. Je le savais mais je n'y ai pas fait attention et je me suis lié d'amitié avec le meilleur ami (= J.). Très vite je l'ai consideré comme mon grand frère, et je lui faisais donc entièrement confiance. Visiblement, cela a fait beaucoup de peine à ma meilleure amie de l'époque (=M.) mais je ne m'en suis pas rendue compte, j'étais enfermée dans un monde où tout était beau, tout était bien, tout était rose. Nous avons décidé M. et moi, de commencer le tennis dans le club de notre ville, non seulement pour faire du sport mais aussi pcq J. faisait partie du club et donnait cours de temps en temps. Nous sommes donc allées aux portes ouvertes du club pour essayer et être sûre que nous aimerions ce sport! J. faisait partie des "mono" qui proposaient un essai pour l'après-midi, il nous a bien évidemment pris dans son groupe. Nous avons joué une heure tout au plus avant de faire une pause. Nous avons été boire un verre et nous voulions fumer mais plus moyen de trouver un briquet! Nous sommes alors parti en acheter dans la ville, un peu plus loin ! Nous avons acheté les briquets, j'ai payé et nous avons continué notre chemin car il y avait un raccourci pour aller au club à proximité.
A partir de ce moment, tout était fini pour moi, tout était joué d'avance. Nous rigolions tous les trois J., M. et moi jusqu'à ce qu'on s'arrête quelques mètres plus loin. Tout en continuant de rigoler J. m'a attrappée par le cou et soulevée, il m'étranglait. Il faisait comme si c'était un jeu mais il ne m'a relachée que lorsqu'il a vu que je n'avais vraiment plus d'air. Je me suis effondrée sur le sol. J'étais sonnée je crois, elle rigolait et lui aussi, et je ne me suis pas inquietée, je me suis dit qu'il n'avait pas fait exprès. On prend donc le raccourci pour retourner au tennisclub. On coupe par un parc. Là, il veut s'arreter un peu. Nous nous arretons et allons nous installé sur un banc. M. et moi montons sur le banc, nous sommes debout, pour être plus grande que lui je suppose, comme les enfants font pour jouer, jouer à grandir plus vite. J. nous dit que c'est son anniversaire le lendemain, qu'il voudrait un cadeau. Et ce cadeau c'est un bisou; on lui en fait chacune un sur la joue mais il précise qu'il en veut un vrai, un baiser pas un bisou. M. lui fait volontiers. Moi, je refuse. Peut-etre n'aurais-je pas du, peut-etre aurais-je du lui faire et peut-etre qu'alors tout ce serai arreté?! Mais quoi qu'il en soit, j'ai refusé. J. s'est énervé, il m'a tordu le bras et m'a obligée à l'embrasser. Puis il m'a relachée et est parie choter( ca s'ecrit comment???) dans une poubelle, il l'a même fait tombée si je me souviens bien. M. et moi on était toujours sur le banc, on s'était assises face à face et on discutait. Il est revenu et s'est assis entre nous deux, elle s'est levée. Ensuite il m'a dit que je n'aurais jamais du me mettre comme ca. Il a essayé de m'embrasser ou de mettre sa main dans mon pantalon je ne sais plus, mais j'ai eu peur et instinctivement, j'ai reculé, reculé et encore réculé. Puis je suis arrivée à la fin du banc mais j'essayais toujours de reculer, j'étais coincée, mon dos était au-dessus du vide et mes jambes ne bougeaient plus. Il m'a completement couchée en me brulant le coude avec ce cher briquet que MOI J avais payé avc MES sous et a mis sa main dans mon pantalon. Plus je disais "non", plus il s'amusait à faire durer cet instant, plus il ralentissait son mouvement et disait" J'y suis presque.." "Bientot..." Plus que quelques mm...". Puis il a commencé à compter le nombre de doigts qu'il introduisait " 1...2...".
Elle est partie, je lui ai dit de revenir, elle est quand meme partie, j'ai espere qu'elle appellerait quelqu'un, mais jamais personne n'est arrivé pour la simple et bonne raison que la demoiselle est partie par"jalousie" et que mes "non" ne voulaient rien dire pour elle, il ne s'est rien passé d'anormal ce jour-là, encore à l'heure actuelle.
"...3...4...5" tout en me faisant remarquer que "tu mouilles comme une chienne""j'ai des plus grands doigts qu' A. ( mon copain du moment) hein?" ce genre de chose toujours très agréable à entendre
. Après le 5, ce fut le tour de sa main ou plutot de son poing
et après je ne sais plus très bien, j'ai perdu la notion de temps, je ne me souviens que de ses insultes et de mes supplications "laisse moi" "arrete" "et A.(mon copain)" " je dois rentrer chez moi, mes parents vont s'inquieter". Il a fini par s'arreter, quelqu'un est sorti de la piscine communale toute proche. Nous sommes parti dans le fond du parc, nous sommes arrivés à un mur et là il a voulu que j'enlève mon t-shirt. Encore une fois, j'ai refusé jusqu'à ce qu'il menace "fais le toi-meme ou c est moi qui le fais et ca fera beaucoup plus mal". Il a joué au voyeur, m'a touché et puis m'a dit de remettre mon t-shirt. Nous sommes parti encore plus loin, il m'a fait escaladé quelques muret et nous sommes arrivés derrière un magasin. Il m'a ramené jusqu'à chez moi en m'insultant tout le long du chemin." Tu n'es ni belle, ni bonne. T'es juste jolie on n'as pas envie de toi et on ne reste pas longtemps avc toi.Tu ne sers qu'à ca. On sert et puis on te jette." fut une de ses meilleures répliques en dehors des insultes connues par tout le monde "salope,connase,petasse,...". Sans oublier le fameux " les putes on les paye, les filles faciles elles sont d'accord, toi t'es rien".
Je suis rentrée chez moi rhabillée, avec des coups, une brulure. J'ai dit " desolee pour le retard" mon pere m'a demandé ce que j'avais au coude j ai dit "Je sais pas, c est rien. J'ai déja mangé au tennis, je monte" et j'ai dormi. Le lendemain j'ai tout déballé à un ami que je considérais églament comme mon grand frère; je ne lui ai pas laissé le choix et depuis il s'occupe de moi.
Après j'ai quitté mon copain pcq ca n allait plus et pcq lui expliquer c'etait trop dur et injuste pcq il n en pouvait rien, que c etait son meilleur ami et que si ca se trouve c etait de ma faute.
Ensuite, automutilation, drogue (douce heureusement
), alcool, plus d'ami ou si peu, plus de copain, tjs dans le fond de la classe mais seule, toujours pas si idiote plus une intello,...
Voila...
Pour finir j'ai tout dit en un seul post,
Peut-être qu'il manque des éléments,
Peut-être que j'ai oublié des mots,
Peut-être que j'en ai répeté d'autres,
Peut-être qu'il y des fautes énormes de grammaire ou d'orthographe.
Mais je vérifierai un autre jour.
Donc voici, le premier, pitoyable et lamentable témoignage de Violine sur un forum.
Violine en mauvais état qui vous supplie de ne pas lui en vouloir pour les détails et de ne pas rigoler,ne pas sourire,ne pas imaginer la scene,ne pas se foutre d'elle,ne pas dire que c'est degueu(dans le sens "sale" ), ne pas diffuser ce témoignage autre part que sur ce forum,ne pas chercher à savoir le lieu, les noms et ma propre idendité. [/size]
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Jeu 24 Avr - 1:48
et encore sacré courage... 
